=arene de poete !=

Bienvenue nobles guerriers, aux mains immaculées, bienvenue brave poetes, qui, de mot font des pirouettes, ceci est une arene, d'un type non sanglant et mortel, mais bien écris et rédigé, nous permettant d'organiser, des joutes de poeme et de vers.

ici la rime est de rigueur, et la strophe doit faire peur ! aussi pauvres participants, aussi nombreux que vous soyez, il va falloir ecrire juste, sous les coup ne pas ployer, et ne pas paraitre rustre !

De ce fait je n'ai point compris,
Si de compétitions il s'agit,

Entre nous tous poètes,
Faudra t-il se démarquer,
Ou juste converser,
Avec quelques rimes en têtes?

Quel type de Poème souhaite Kerpa ?


ça fait déjà un alexandrin

En rime tu doit parler,
Si l'esprit de poête tu veux garder!

Taigong-Wang a écrit:

En rime tu doit parler,
Si l'esprit de poête tu veux garder!

Biensûr, mais garder un rythme en tes vers tu dois.
Sinon, les lois des poèmes sont baffoués.
Et cette joute de rimes son sens perdra.
Ton nom nous ne pourrons alors que mépriser.

Me voilà embettée de poster ici-bas
Car je sais KerpalasS bien plus puissant que moi
En ce bel art des mots qu'il nous présente là
Mais vous me connaissez, je ferai ce combat!

Je commencerai donc par mes alexandrins
Pour vous mettre, poetes, a l'état de vauriens!
Vous pouvez donc craindre la force de mes mots
Qui nés, de ma mains, sont donc du plus pur chaos.

Je vous ecraserai et ferrai vos sanglots!
De vos deux mains jointes, vous crierez le "Pardon"
Que je m'empresserai de faire taire d'un couteau
Vos espoirs de gagner ne sont donc qu'illusion!

Personne ne m'aclame, et celà je le sais
Car mes mots auront bien de quoi faire trembler!
C'est certe ma premiere bataille de tels grands mots
Mais je compte me battre, et faire grands sanglots!

Je sais donc que moi, je vais bien me nourir
De la joie immense que j'ai a faire perir.

en effet, ceci est un combat,
on s'attaque et se blesse a coup de vers,
jusqu'a ce que l'un des deux soit las,
et s'avoue vaincu, car enfin il perd.

je répond a n3ptuna, orc barbare,
qui m'attaque ici bas, en vers sournois et crevarts,

Cette orc s'avoue donc vite vaincu,
et me proclame gagant des le début,
le match ne fait que débuter,
la bataille vient juste d'etre entamée.

aucun gagant n'est pour l'instant a honorer,
nous le découvrirons a la fin de cette guerre endiablée.

La peur est l'arme de cette créature,
l'empressement et la violence, son bouclier,
les insultes et menaces, sans doutes sa parure,
le physique est l'arme des faible, pour elle, c'est son geolier !

Ainsi donc, en ce bas monde, je vais me permettre,
de te corriger , affrosité, et donc etre ton maitre.

Tes strophes sentent le sang chaud,
certaines ne volent meme pas tres haut,
mais tes mots sont comme un couteau,
tranchants et clanquants avec sursaut.

tu cherche les sanglots des autres,
je te ferais prendre la porte.


sur ce je vous laisse, car sur la tablée,
m'attend du pain chaux, et un peu de blé.

De ces mornes poèmes je me lasse
Je veux de l'aventure et point d'histoire
Sans intérêt , car ce soir je broi du noir
Une épopée! qu'importe qui la fasse

Je le considérerai en ami
Poète un jour , poète pour la vie
Des poètes ici bas, point de grands roi
Tous unis parlant d'une même voie

Ce concours n'est pas un affrontement
Ni une joute, mais une bon moment
jJe n'écris pas pour etre le meilleur
Mais uniquement pour toucher vos coeurs

Commencons donc ici,
Les réçits d'aujourd'hui,
Et de mes modestes vers,
Je vous propose de dire,
Ce qui ce passa,
Pour ce pauvre Haldir.

Haldir ou l'elfe eternel,
Qui ne fut jamais sans pareil,
Etait enfin né.
En cette heureuse année.

Sa jeune vie fut remplie,
D'une joyeuse alégresse,
Qui ne connaissait point paresse,
Et qui fut de loin sans soucis.

Mais ce train de vie,
N'a bien sur point percisté,
Car c'est sans doux baisés,
Qu"il resta chez lui.

Et pour enfin trouver,
Ce que depuis longtemps il cherchait,
Il se mit en quête,
D'une douce bien-aimée.

Les pays Haldir en fit le tour,
Pour chercher à assouvir son amour,
Qu'il portait à une inconue,
Dont le visage il ne voyait point la vue.

Et enfin en pleine force de l'age,
Notre beau heros donna raison aux adages,
Lorsque d'un noble roi,
Les services il loua.

Le monarque l'interrogea comme ceci:
"Que me vaut t'as visite noble chevalier?",
Et ainsi notre hero répondit:
"A la recherche d'une belle mon coeur m'a poussé,
et votre réputation est telle que je n'ai pu passé à côté".
"De ce fait, tu veut la main de ma fille,
mais je ne puis accepter combien même est-elle ma pupille,
car de rien tu ne m'a prouvé pour pouvoir la protéger.

"Oh mon roi je vous donne connaissance,
De tout ce que je peut faire,
S'il le faut pour votre fille briser de la faillance.
Ou bien même à jamais me faire taire,
Car de votre pupille je veut la main,
Et je vous demande de ne pas me voir en nain,
Car de la race des Elfes je fait partit,
Et éternel pourra être mon service auprès de celle que j'ai choisit".

Tous ces arguments le roi y réfléchit,
Car il est vrai qu'au fond de lui,
Personne n'avait aussi vivement demandé la main de son enfant,
Que notre héro Haldir convoitait tant,

Et c'est vers le milieur du calendrier,
Qu'en bon père le roi accepta,
Que de la venu d'un jeune Elfe décidé,
Le destin de sa fille changea.

Ainsi ce termine notre petite histoire,
Et d'autres succederons surement tôt ou tard,
Et pour sur qu'un agréable destin restera,
Sur la fille qui se nomme Orüa.

norbert le bosmer alla dans les bois
a peine fut il entré
que son épée il du dégainer
il était seul ils étaient trois

un deux trois , il trancha
aucun ne résista
il reparti, heureux de son haut fait
quand il vit son lacet défait

il se baissa
le rattacha
se releva
puis s'ecroula

un ours devant lui
venait de l'effrayé
celui ci voulait le découpé
mais il fini en hachis

le bosmer continuait
quand devant un donjon il se trouva
de minotaure il était infesté
la purge commenca

avec son épée joyeuse
il ramassa le minotaure roi
la princesse il délivra
mais celle ci était un peu chieuse

vite norbert la largua
a une orc elle ressemblait
je sens que je vais me faire frapper
nan n3ptuna, ne m'en veut pas

norbert des guerriers fut le plus grand
a coté de lui les autres sont des glands
mais la fin de l'histoire approche
et non sans anicroche

le roi minataure fut empaillé
un nouveau tapis fut instalé
norbert dans son lit se prélassait
mais il faillait se levé

il s'habilla
marcha
glissa
chuta

sa femme de chambre le retrouva
sur le minotaure empaillé
il s'y était empallé
de tous norbert la risée restera

c'est ainsi qu'en étant trop confiant
beaucoup de brave gens
comprire que le pire me^me aumeilleur
peut arrivé norbert l'a vu , d'ailleurs

c'est la fin de mon histoire
elle n'est pas super
je ferais mieux se soir
mais pour l'instant je prends une bière

Et voilà ma réponse qui s'est fait attendre,
Kerpalass m'attaqua, ma défense la voilà :
Si il veux, comme je le croit bien, me pourfendre
Le combat cessera que lorsque Kerp mourra!

Car ma plume, a ce jeu, se fait belle et légère
Contenant tant de feu que vous serez poussiere,
Et vos corps démunis reviendront à la terre,
Avant même d'avoir fait quelquonques prieres.

Vos propos ne pourront jamais rien face a moi
Car je veux vous tuer, par là va mon choix,
Vous allez tous crever, le monde perrira
Sous mes vers dictateurs, mes poemes et mes lois.

De ma peau trop verte de mes yeux de faucon,
J'attaque tout humains, toutes formes de vie
et sans hesitation, mes haches trancheront
Car je n'est de repis que lorsque je détruis

Je suis là bien la seule a attaquer le Bien
Vous m'en voulez c'est sur, je n'm'en soucis en rien,
J'applique mes valeurs, qui de celles des humains
Se situes je l'avous, on ne peut pas plus loin.

Je seme de chaos
Les sentiers du forum,
Qui tel un grand couteau
Massacre tout Hommes.

faut arreter
faut pas exterminer
pourquoi tant de d'arrogance
nous ne sommes pas sans défense

tes hache toirnoieront
mais dans l'air elle frapperon
ma la lame se chargera de toi
si tu continu a nous défiez comme sa

de la plume je fais ma première défense
pour la passer oubli ta défience
de la plume je fais ma pire attaque
car ou que tu sois elle te traque

par mes vers je te vainquerai
et jamais je ne trépasserai
il ne te sers a rien de courir
tot ou tard ton sang ma lame viendra rougir

si tu t'attaque a moi
prends bien garde a toi
je ne suis pas kalaque
je ne laisserai pas mettre des claques

maintenant tu es prevenu
alors un peu de retenu
conte nous tes hauts fais
plutot que de nous défier comme tu le fais

Je vois en ton attaque
Un espoir incertain
De me vaincre avec rien
Tu refuses les claques
Et dis bien que ta plume
Serai avant toute chose
Ta défense peu commune.
Tu vois la vie trop rose
Il faut te reveiller !
Face a tes vers, tes proses,
Je ne peux qu'attaquer!
Ne serai-ce pas le but
Que KerpalasS donna
Lorsque de par sa flute
Les regles il dicta ?

MOUAIS! pas tres poetiques tout selat
voila comme sa c'est mieux

Messire lex,
Pouvez vous évité,
S'il vous plait ainsi de poster,
Car j'ai bien peur que cela me complex.

Allez vous présenter,
Ou vous mettre à la tablé,
Car le barre du forum est ouvert,
A tous ceux qui veulent un verre.

Souvenez-vous qu'en rime il faut parler,
Et que de cela sur ce topic vous ne pouvez en échaper.

Ne devrait-on en rien, punir là ce posteur?
C'est vrai je me montre impartiale et sans coeur,
Mais tell'ment de bétise est a punir sur l'heure
Le meilleur des remede, ne serai t-il la terreur?

lex012 a écrit:

MOUAIS! pas tres poetiques tout selat
voila comme sa c'est mieux

Sur mes paroles, je reviens,
Car je connai bien ce boulet
Je peux vous assurer qu'en rien
Il n'a voulut nous perturber!

Maintenant, certe, le mal est fait
Et j'ai du mal a pardonner,
Mais pourquoi donc laisser mourir,
Ce sujet qui donne sourire?

Racontez donc a nouveau
Les beaux exploits de vos marteaux!
Et faites donc que chaques vers
Sentent la paix ou bien la guerre!

merci neptuna
sur ces sage mot je ne reviendrai pas
je suis sincerement desoler
de vous avoir pertuber
et maintenent apres c'est alexendrin
allon tuer du gobelin

Cela me rapelle une époque
Où, ponctués de feuilles morte
Mes pas me cuiduirent a une porte
Abritant ceux dont Lex se moque

Je vais compter cette aventure
Ou ma victoire prone bien sur.

Il y avait, dans une ferme
Une invasion de gobelins
Dont les poils de leur épiderme
A ma vu se dresserent bien.
Je ne fais ma réputation
Elle est fondée, et très connue :
On me surnome, non sans raison :
"Koupeuz de tete", " la Vert' ki tu "
Il est normal donc qu'a ma vu
Les bestioles eurent une peur.
Et sans m'avoir attendu,
Ils deciderent, dans leur frayeur,
De s'arracher chaqun le coeur.
Ils m'eviterait donc ainsi
Le grand plaisir d'un combat
En ce mettant a ma merci
En se tuant, et ça sans moi.

Quelle fut donc ma surprise,
En entrant et en voyant ça,
Des gobelins qui comme prises
Tenaient des coeurs devant moi!

Je décidais de les faire cuire,
Les coeurs me firent un bon repas.
Les bètes ne pouvant plus nuires,
Les loups s'occuperent de leurs cas.

Et voilà donc les méfaits
D'la plaisante réputation
Qui avant de "vraiment" tuer
Effrai "a mort" les trouffions

Histoire,conte ou chanson,
De chevaliers, monstre et dragons,
mes stophes vous conterons,
ces histoires, nées d'imagination.

Les aventures du grec Archillon,
aventurier toujours prompt,
à combattre dangers et affront.

lorsque sortit un dragon,
à la cité du parthénon,
un tour fit le sang d'archillon.

préparant son armure, épée et èperons,
le grec partit de sa cité Calydon,
tout en priant Hermes le bon.

Une fois au abords des eaux du Triton,
il courut vers Athene et vit le dragon,
dont les nazeau crachaient, les eaux de l'Achéron.

Et ce fut devant le plus grand des dragons,
que le brave guerrier se cacha en priant poséidon.
Celui-ci apparut, et legua au guerrier, une brillante solution.

to be continued... avec des rime en "ion", ou "on"!